Répétition

Répétition

– Sacre du Printemps- Ballet de l’Opéra Toulouse

2004 Evelyn Kuwertz a commencé le travail pendant les répétitions du spectacle „le sacre du printemps“ du Ballet de l‘Opéra, de Toulouse. 2006 elle a transformée quelques séquences dans une série de sérigraphie sur„sacre du printemps“.

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Evelyn Kuwertz travaille avec des danseurs. Le sujet n‘est pas les danseurs ni la danse, mais le mouvement. Un mouvement double: l‘improvisation des danseurs dans l‘espace, et les crayons et pinceaux sur les cartons et les toiles. On voit dans les travaux terminés parfois un visage, parfois une main, on reconnait dans les rondeurs des lignes corporelles. Mais ce ne sont pas des personnes reproduites, voire figées dans des poses de modèles, ou fixées dans l‘instant; ce sont plutôt des changements incessants. Les diverses phases des mouvements, elle les note dans des traits qui se chevauchent,
qui rendent les images mouvantes pour le spectateur. Son attrait esthétique se révèle par ce qui est fixé sur la toile de manière apparemment fugitive, esquissée. Le mouvement devient authentique par la notation directe et en même temps un élément graphique qui reste sur le papier comme la trace d‘une impulsion intérieure. 

Auteur et Peintre Christian Schmidt, Toulouse

Gravure sur bois                   

Depuis que je suis installée en zone rurale je suis attirée pas les bois du chêne. Les planches de vieux chêne que je trouvais dans l‘ancienne ferme. Quelques unes tellement tordues étaient inutiles pour bâtir. Mais a mon avis elles sont belles et je les ai mises de côté dans un coin de mon atelier. J’aime les regarder, suivre les traces de leur croissance. Leurs structures bizarres et élégantes évoquent les lignes de mes dessins sur le corps en mouvement. Alors un jour je les ai prises et ai sculpté sur le bois ce qu‘elles m‘inspiraient. Cette technique, qui était nouvelle pour moi, était un défi; l’impression d’une des grands planches n’était possible qu’à la main. J’expérimente différentes combinaisons de couleurs et papiers, papier japonais et papier calque. En raison de la surface inégale du bois grainé, les encres d’impression sont absorbées différemment. Ce qui donne également aux imprimés un charme et une vivacité particuliers. Chaque tirage est unique.

Hommage an Pina Bausch

Sans titre